La sûreté avant tout
Discours prononcé par Lucy Georges, déléguée départementale, à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, le 08/03/2023.
Bonsoir !
En vérité, en France les droits principaux des femmes sont largement respectés. Selon Statista, nous vivons dans l’un des dix pays du monde où l’on accorde les mêmes droits aux femmes qu'aux hommes.
Nous reste-t-il encore des combats ?
La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen identifie quatre droits naturels, que sont les droits à la liberté, à la propriété, à la résistance à l’oppression, et à la sûreté.
Cette dernière est notre priorité actuelle.
En effet, les viols et agressions sexuelles ont plus que doublé depuis l’arrivée au pouvoir de Macron. En prenant en compte uniquement les faits qui font l’objet d’une plainte, il y a plus de 100 viols, et 700 agressions sexuelles par jour. A cette cadence, il devient indigne de parler de fait divers, car nous sommes face à un véritable phénomène de société. A force de mettre en lumière cette évolution inquiétante, statistiques à l’appui, même la gauche et le centre commencent à reconnaitre qu’il y a peut-être une corrélation entre l’immigration massive et ces violences.
Mais Il faut refuser ces excuses basées sur un prétendu « code culturel » trop fréquemment entendues dans la bouche des avocats complaisants. Tous les adultes connaissent la différence entre le bien et le mal, d’où qu’ils viennent.
Il faut que la France affiche sa fermeté, sinon nous perdrons notre sûreté. Et si ce droit-là est perdu, tous les autres s’effondreront comme un château de cartes, et les Françaises se retrouveront tôt ou tard dans la même situation que les femmes d’Afghanistan.
Notre priorité doit être donc d’affirmer le droit à la sûreté.
Hélas, la priorité de la gauche, et du gouvernement actuel, est tout autre. Ils veulent inscrire un droit à l’avortement dans la constitution. En dépit du bon sens, et avec un mépris total des droits des médecins et du serment qu’ils prêtent et le principe qui le sous-tend : primo non nocere. Le pauvre fœtus, déjà inexistant pour la justice, comme le cas Palmade a tristement rappelé, devient encore plus insignifiant.
Ces mêmes personnes qui défendent bruyamment l’écologie mettent sur un piédestal toutes les espèces sauf la nôtre. La vie de l’être humain n’a plus aucune importance. On emprunte déjà le chemin inquiétant de l’euthanasie ; idéologie sombre, mais chaleureusement applaudie par ces croque-morts progressistes.
Le progrès tend vers la déliquescence, et donc vers la dissonance cognitive. Comment en effet se proclamer contre l’esclavage mais saluer la gestation pour autrui ?
A nous de refuser cette idéologie, même si l’on sait que ces personnes ont l’habitude d’apposer une étiquette « -phobe » dès qu’on n’est pas d’accord avec elles. C’est une paresse intellectuelle à laquelle non seulement elles ont droit, mais qui est devenue une seconde nature pour elles.
Nous, femmes de droite, ne voulons pas être représentées par ces folles harpies qui sévissent à l’Assemblée Nationale, et qui veulent nous faire taire. Elles n’y arriveront pas. Elles n’ont pas le monopole des droits de la femme, et elles donnent une image détestable des femmes en politique.
Chez Reconquête nous avons le courage de nos convictions.
Chez Reconquête nous avons la femme politique la plus belle et la plus intelligente !
Chez Reconquête nous avons notre lucidité, là où les autres sont aveuglés par une idéologie.
Nous ne nous posons pas en victimes, car nous sommes fières de notre sexe.
Nous sommes les Femmes de la Reconquête!
Votre Fédération de la Meurthe-et-Moselle