Orange Mécanique, version Antifa
Les événements de ces derniers jours ont révélé l’existence d’une ultra-gauche ultra-violente que jusque-là les Français refusaient de reconnaitre. Paris a été touché, tout comme certaines villes de province.
Nancy n’est pas en reste, et les récentes attaques sur la librairie des Deux-Cités, en sont la preuve. Les autorités municipales refusent néanmoins de reconnaitre que ce groupuscule pose de graves problèmes à l’ordre public. En découle donc un sentiment d’impunité chez ces jeunes, d’autant plus que la cellule « antifas » a pignon sur rue, et tient ses réunions dans les salles de la faculté des lettres avec toute la complaisance de l’université.
Les manifestations ont pris un tournant violent depuis quelques jours, avec feux de poubelles, jets de projectiles, et graffitis sur des monuments jusqu’ici épargnés. C’est ainsi que ce matin les habitants de notre chef-lieu historique ont découvert les graffitis Place Stanislas, patrimoine classé à l’UNESCO.
On y retrouve les obsessions du complotisme wokiste actuel : la prétendue violence systémique dans la police, et la nostalgie de la révolution.
Ils nous reprochent de regretter les trente glorieuses. Eux rêvent de faire à nouveau régner la Terreur dans notre beau pays.
Votre Fédération de la Meurthe-et-Moselle